Ce à quoi je ressemble
Melon est plutôt banale. Elle n’a pas le physique de toutes ces Bimbo : grosses poitrines, lèvres pulpeuses, grosses fesses. Bref rien de tout ça. Par contre elle possède beaucoup de charme. Son visage est particulièrement mignon et son regard vous fera fondre à tous les coups. Comme vous aurez pu le remarquer . Ce qui frappe le plus chez elle est la couleur de ses cheveux. Ils sont bels et bien verts . Non ce ne sont pas des artifices cosmétiques. C’est en s’amusant avec son ADN que les scientifiques ont réussi à lui donner cette couleur aussi particulière. ( Enfin ça a été juste une erreur de leurs parts . C’est d’ailleurs pour ça qu’ils l’ont gardé avec eux pendant toutes ses années, pas sûres que quelqu’un voudrait d’elle). Ses oreilles de chiens sont confondues dans sa chevelure, du coup en la regardant on à surtout l’impression qu’elle porte des couettes et pourtant ce n’est pas le cas ! ce sont bel et bien ses oreilles.
Un visage rond, un corps fin avec très peur de poitrine pour un mètre 50, un petit nez et une petite queue en panache de la même couleur que ses cheveux. Il n’a pas grand-chose à dire de plus sur le physique de cette petite verte.
À l'intérieur de ma tête
Depuis petite Melon ne s’était pas souciée de beaucoup de choses. Elle s’était contentée de vivre, de manger et d’obéir. Elle ne savait rien de plus c’était juste une gentille fille. Maintenant qu’elle a été mise dans le chenil beaucoup de choses se bousculent dans sa tête. Qu’est-ce qui se passe ? où est-elle ? Est-ce qu’elle va rester là ? Pourquoi ? Comment ?
Elle se pose aussi énormément de questions sur elle-même, ce qu’elle est vraiment… aussi maintenant qu’elle est au courant de l’extérieur elle se demande ce qu’il y a. petit à petit la curiosité germe dans sa petite tête. La peur aussi fait surface, mais elle ne change pas vraiment au fond. Elle reste docile, gentille, douce et attentionnée. Beaucoup dirait qu'elle n'est qu'une coquille vide, mais ce n'est pas le cas. Elle est remplie d'amour qu'elle aimerait partager ! Elle n'en a pas vraiment eu le cas jusque là du coup la personne qui s'occupera d'elle sera sans doute envahie de tous ces sentiments elle se découvrira peut-être une nouvelle elle en se faisant adopter.
This is my story
C’était il y a de cela 15 ans ou quelque chose comme ça. Melon est née dans un laboratoire comme beaucoup de la même espèce qu’elle. Ni père ni mère, juste des scientifiques. Elle fut le croisement d’ADN d’un chien et d’un humain.
La jeune fille ou bien la jeune chienne (comme vous voulez), vécut jusqu’à aujourd’hui la totalité de son existence enfermée dans un laboratoire. Elle ne s’était jamais posé de questions, elle n’était même pas au courant qu’il y avait un autre monde que le sien. Elle ne s'était jamais demandé elle devait procédé tous les jours aux mêmes expériences : Test de reflex, de sensibilité, d’émotion, etc. La petite quelques années plus tard eut la chance d’être nommée. À sa naissance elle avait été immatriculée du numéro « 00745B », mais un scientifique un peu plus décalé que les autres la pris d’affection et la nomma watermelon ( plus souvent appelé Melon). Un nom bizarre et pas facile à porter pour une personne « normale » .quelle idée de donner un nom aussi ridicule à une jeune fille ? C’est simple c’est parce qu’elle n’était pas considérée comme tel, mais comme une chienne. Et les chiens eux n’ont pas de problèmes à ce qu’on leur donne des prénoms ridicules.
Melon resta docile et sage. Elle ne se rebella jamais, de toute façon elle n’en voyait vraiment pas l’intérêt et elle ne savait pas ce que c’était. Elle se sentait réellement bien dans sa situation. Elle mangeait à ça faim ( des boîtes pour « chienne » crée par les scientifiques.), elle recevait un minimum d’attention … c’était déjà pas mal ?
Mais le jour de ses 15 ans, elle fut amenée au refuge. C’était à n’y rien comprendre ?! Quel été cet endroit ? Et pourquoi l’emmenait-on ici ? Les scientifiques s’étaient tout simplement lassés du sujet d’expérience « Melon » et ils l’avaient littéralement abandonné au refuge.
La voici face à un nouveau destin quel n’imaginais pas du tout, la voici effrayée en attendant qu’il se passe quelque chose de nouveau. Le chat qui se trouvait dans la cellule non loin d’elle lui avait dit que les personnes bien habillées s’appelaient des humains et non des scientifiques, ils venaient ici pour les chercher et les manger !
… Mais elle ne voulait pas être mangée !