Une nouvelle vie? Mh pourquoi pas! PV Aoi

L'aube se lève sur la ville. Moi je suis, comme d'habitude la première à me lever. Ne me demander pas pourquoi je n'en sais franchement rien. Je m'étire longuement et comme je peux dans ma toute petit cage, puis je baille laissant apparaître mes petits crocs félins.

J'enroule ma longue queue noir de panthère autour de moi, assise, regardant dehors. je suis ici depuis très peu de temps. je crois que ça fait 5 jours. avant je vadrouillais. Je serais tant restée à ma vie sauvage. Mais les humains sont trop fort pour moi je ne peux pas m'échapper.Fixant le dehors de ma cage j'attend un mouvement.
La porte de l'entrée s'ouvre. Ce sont les employés qui viennent nous donner à manger. l'un d'eux ouvre ma cage, y déposent une maigre gamelle de croquette sèches. Je le fixe de mes yeux presque jaunes avec tristesse de devoir manger une fois de plus cette horrible chose. L'employés me regarda et me dis:

- Ne tant fait pas petite *regarde mon écriteaux sur la cage* Mélodie tu trouveras vite quelqu'un qui te donneras, qui sais, peut être autre chose, si tu as de la chance.

Quoi moi de la chance? je n'en ai jamais. je ne crois même pas se qu'il vient de me dire et mange mes croquettes en baissant les oreilles et en le regardant refermer la cage et partir. je fini le bol et je m'installe en boule en regardant la porte. Espérant voir quelqu'un.

Aoi repartait faire un tour en ville, a force c'était devenu pour elle une habitude. Il est vrais qu'elle trouvait les gens bête de refaire tout les jours la même chose, le travail, il n'y a rien de plus stupide quand celui-ci est habituel, qu'il ne se passe jamais rien...jamais vous n'allez entendre un marchand raconter un exploit digne de ce nom ! Celui d'Aoi n'était pas non plus très..banale il faut dire mais elle s'en contentait, se trémousser devant des hommes qui ne paye que pour ça. L'homme, un être des plus stupide qui ne pense hélas pas avec son cerveau mais avec un autre organe.
La jeune femme était satisfaite de son petit jouet malgré le faite qu'il soit un homme, il semblait...différent ? Ou alors était-ce parce qu'il obéissait aux ordres, probablement.

Aoi se dirigea sans savoir pourquoi en direction de l'animalerie..aller savoir pourquoi elle voulait y jeter un coup d’œil. On ne sait jamais après tout, dés fois que son regard et son envie se jette sur un de ses pauvres hybrides pour en faire son nouveau jouet. La jeune femme prenait son temps et regardait tout ses hybrides dans le détails, le gérant a du croire plusieurs fois qu'elle en voulait un pourtant elle ne voyait pas grand chose qui l’intéressait. Puis elle arriva devant une cage.."Mélodie", quel jolie prénom. Sa devait être une de ses pauvres créatures innocente et fragile, pourtant Aoi eu un peu de compassion en regardant la bête, elle avait l'air...triste et seule..sa lui rappelait quand elle était encore une gamine...
Elle eu un moment de silence, comme perdu dans ses pensées..elle ne cessa de fixa l'animal, puis, d'un coup, fit signe au gérant qui compris très vite qu'elle avait a nouveaux fais son choix.
Elle s'empressa de signer tout les documents se lassant déjà de la paperasse et ouvrit finalement la cage de sa nouvelle hybride.

"Bonjours ma belle *dit-elle en souriant* tu es maintenant à moi."

J'attendais sagement un mouvement. regardant dehors, perdue dans mes pensées.
J'entendis la cloche de la porte s'ouvrir. Je fus tout de suite intérpelée par ce qui se trouvait dans le magasin, plus curieuse que jamais je pointa mes grandes oreille de panthère en m'asseyant pour voir de qui il s'agissait. C'était un dame, plutôt grande, aux loins cheveux brun noir et aux regard intriguant. Je la regardais passer devant chaque cage, partant rapidement après une inspection. Elle s'arrête devant ma cage, son regard pénètre le mien. Je remarqua de suite du sadisme assez bien caché. Je frisonna discrétement en la regardant. Elle regarda mon écritaux et réflechis,toujours en me fixant. Je ne savait pas se qu'elle se disait. Une chose est sur son regard dans le miens ne me rassurait pas vraiment.
Enfin après une longue attente, la dame fit signe au gérant, un signe que je ne compris que lorsqu'elle signa mes papiers d'adoption. Devais je être heureuse? Je n'en savais rien. une chose est sûr, elle sera dur et mes crise de révoltes risque de je pas lui plaire et je risque d'en payer le prix. Enfin...
S'arrétant devant la cage une nouvelle fois, elle me regarda puis l'ouvrit. Je ne savais pas quoi faire, j'attendais un ordre.

"Bonjours ma belle *dit-elle en souriant* tu es maintenant à moi."

Une phrase gentille. Trop mieleuse, je reste sur mes gardes. Je sors de la cage à quatre patte me méttant assise devant ces pieds à la regarder avec un sourire soumis et assez forcée. Je ne voulais pas montrer mon inquiétude,je colle ma longue queue noir de panthère contre moi et je laisse le gérant me mettre un collier et une laisse, noir en cuir, simple. Il l'a tend à la dame attendant sa réaction tout comme moi.

Aoi ne pensait pas être attendrit par l'une de ses créatures, mais elle avouait volontiers que celle-ci avait quelque chose qui l'attirait..probablement son innocence..la jeune hybride paraissait si pur et si..fragile que la jeune femme avait presque envie de devenir gentille. Elle reprit ses esprits un tira un petit coup sec sur la laisse pour ordonner a son nouveau passe temps de la suivre. Elles traversèrent toute deux la ville en faisant de temps à autre des petites pauses qu'elle jugeait utile pour que l'hybride se repose un peu. Puis dans un de ses rares moments de gentillesse elle décida d'offrir un petit quelque chose a son hybride. Elle la laissa a l'entrée d'une boutique puis alla chercher quelque truc dont elle avait besoin pour ses deux autres hybride ainsi qu'un présent pour la dernière arrivée. Elle ressortie de la boutique avec un petit sac a la main, elle voulait attendre d'être a la maison pour lui offrir ce qu'elle avait trouvé. Elles reprirent donc le chemin de la maison alors que le soleil commençait a peine a se coucher. La route n'était pas bien longue mais on ne sait jamais ce que l'on peu croiser en chemin, c'est pourquoi Aoi s'empressa de rentrée accompagnée de sa nouvelle hybride.

Je regardais gentillement ma nouvelle maîtresse malgré son regard qui me laissais des doutes. Elle prit la laisse et tira d'un cou sec dessus pour m'ordonner d'avancer. Ce que je fis sans rien dire. Marcher à quatre patte c'est pas vraiment mon truc mais je n'ai pas le choix pas vrai? Heureusement, ma maîtresse s'arrêtait de temps à autre pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. Elle marchais à pas vif. Un moment elle s'arrêta dans un magasin. Elle attacha ma laisse et entama quelques course. Je dois avouer que lorsqu'elle ne regardait pas j'essayais de tirer la laisse pour défaire le noeud qui me bloquais mais en vain.
Je n'insista pas longtemps et lorsque ma maîtresse sortit je baissa la tête, assise, l'attendant sagement. Nous continuons  la marche sans dire un mot, evidement je n'allais rien dire tant qu'elle ne me l'autorise pas. Heureusement pour moi aucune crise de rebelle ne se fit pendant la suite du voyage. Une chance pour moi mais  je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Alors que nous marchions, un homme nous croisa et me poussa exprès sur le coté de la route violement, à savoir pourquoi. Je couina tout doucement mais je me remis en marche sans attendre. Puis nous entrons dans le quartier chic. Je regarde partout et soudain je ressosi un coups sur ma laisse. Mon collier m'étrangla légerment. Nous étions arrivés. Devant moi un énorme manoir. Tellement grand que je ne pus m'empêcher de de chuchoter


- C'est ça ma nouvelle maison?!

Je n'attendais pas de réponse. J'avancais sagement au pied de ma maîtresse.

Une fois le seuil de la porte passé les serviteurs étaient encore plantés a l'entrée pour l'accueillir, ils étaient tous soumis et avaient tous très peur d'Aoi car son humeur pouvait très vite varier, mais ce qu'apparemment ils n'avaient pas compris c'est que la jeune femme détestait par dessus tout qu'on lui prête autant d'attention, cela pouvait paraître idiot mais c'est comme si ils avaient attendu tout la journée, donc a ne rien faire a attendre le retour de le maîtresse...Elle garda la laisse de son nouveau jouet en main et se dirigea vers la plus jeune des servantes..elle glissa ses doigts sur son menton pour lui révéler la tête et la regarda avec un regard noir. Sa main ne t'attarda pas a claquer la joue de la pauvre fille devenu rouge par la gifle.

"Combien de fois vous ai-je dit de vous occupez de vos affaires ! vous êtes ici pour les tâches ménagère et non pour me lécher les bottes !! Rend toi plutôt utile, va faire a mangé pour notre nouvelle habitante et y a intérêt que sa lui plaise si tu veux pas finir "la"..exécution."

Elle prit le chemin de sa chambre accompagnée de sa nouvelle hybride et profita de l'absence des deux autres pour la faire rentrer. Elle s'installa sur le bord de son lit en profitant de la douceur des draps, de la fraîcheur de l'air qui encombrait sa chambre..puis elle regarda l'hybride et lui parla sur un ton doux mais très peu rassurant.

"Tu es maintenant ici chez toi, si tu as besoin de quelque chose n'hésite pas a demander a l'un de ses idiots...La porte qui se trouve en face de mon lit *elle dirigea son regard vers celle-ci puis sourit* interdiction d'y aller, sauf si c'est moi qui t'y emmène. Ta chambre se trouve juste a côté de la mienne, il n'y a qu'Epsilon qui a le droit de dormir dans cette pièce et d'y entré quand je ne suis pas là d'accord ? Tu as le droit de te balader dans le manoir, tant que tu ne rentre pas ici ça m'est égale..interdiction de sortir sans mon accord..je veux tout savoir, absolument tout."

Elle fouina dans le petit sac qu'elle avait sorti de la boutique et en sortie un collier en ruban noir, auquel était accrocher une petite clochette en or. Elle lui accrocha autour du cou et attira son visage près du sien..embrassa ses lèvres et la repoussa aussi sec tout en rigolant.

À peine était je rentrer à coté de ma maîtresse dans le manoir que déjà une tension se fit. En effet ma chèr maîtresse venait de donner une claque à une pauvre servante qui l'avait accueillit. La dominante des lieu ordonna à celle ci de me préparer un repas correct si elle ne voulait pas "en rester la" espression que je compris très vite mais Heureusement pour elle, même si je dois manger quelque chose d'infecte, jamais au grand jamais je ne dirais que c'est mauvais pour la sauver. Sans plus attendre Aoi mont en tirant sur la laisse pour que je la suive rapidement. Nous entrons dans une chambre fraîche et agréable qui était la chambre de ma maîtresse. Sans plus attendre elle enleva mon collier et ma laisse et s'asseilla sur son lit. Moi je me mis par terre assise devant elle comme pour attendre un ordre. Celle ci me dit :

"Tu es maintenant ici chez toi, si tu as besoin de quelque chose n'hésite pas a demander a l'un de ses idiots...La porte qui se trouve en face de mon lit *elle dirigea son regard vers celle-ci puis sourit* interdiction d'y aller, sauf si c'est moi qui t'y emmène. Ta chambre se trouve juste a côté de la mienne, il n'y a qu'Epsilon qui a le droit de dormir dans cette pièce et d'y entré quand je ne suis pas là d'accord ? Tu as le droit de te balader dans le manoir, tant que tu ne rentre pas ici ça m'est égale..interdiction de sortir sans mon accord..je veux tout savoir, absolument tout." 


Je trembla suite à ces parole surtout à l'idée de savoir que se cachait derrière cette porte. À mon avis rien de bon pour moi.puis elle fouilla dans son sac de course. Je tenta de tricher pour voir se qu'il s'y cachait mais je m'y abstint rapidement. Aoi en sortit un collier en ruban noir avec une petite clochette en or, comme les petit chat. j'étais un panthère quand même! Puis elle raprocha mon visage du sien et m'embrassa sur la bouche avant de me repousser et de rigoler.


J'étais au sol. Je la regardais rigoler assez sadiquement. Je sens un sensation emplir mon corps.  je sens mon coté rebelle se réveiller.Non pas maintenant! Je devais faire bonne impression! Non! Je ne peux pas contrôler cette émotion de révolte! C'est trop tard je me lève et je me met en fasse d'elle la queue gonflée:

- Je vais ou je veux ! C'est pas une humaine comme Toi qui va changer la chose!si je veux je vais dans cette pièce là bas et c'est pas toi qui va m'en empêcher! Je ne t'appartients pas oh non je fais ce que je veux et je m'appartiens! * en soulignant bien les Tu*

Sans plus attendre je saute sur son lit pour lui montrer que j'y trouve aussi ma place et je me lève pour tenter d'aller ouvrir la mystérieuse porte. Mais je m'arrête, ma crise baisse et je peux gentillement reprendre contrôle. Je me calme gentillement puis sans rien dire je vais à ces pieds, baissant la tête, ce n'étais qu'une petite crise et je savais que j'allais le payer. J'était coucher devant elle en la regardant :

- je.. Je suis désolée maîtresse. Ce fut plus fort que moi je... Je ne sais pas ce qu'il m'a pris...