Après un petit temps de marche, mariza et ayase arrivèrent devant un escalier poser contre un arbre. Cet escalier menait a une maison percher en hauteur.
Allez viens n'ai pas peur c'est ici chez moi. Et c'est aussi chez toi maintenant.
Mariza souriait encore au petit ayase. Ils commencèrent a grimper et une fois arriver en haut elle ouvrit la porte. C'était une maison assez cosi. La porte donnais sur un salon assez simple. Pas de télévision, juste un canapé poser face a une petite table de salon sur laquelle trône des tonnes et des tonnes de livres en tout genre. Face a cette table se trouve une petite fenetre, suffisament grande pour laisser entrer la lumière pile poils sur la taille de la table. Sur le mur a droite se trouve un bibliothèque, qui déborde de livre en tout genre. Au fond de la pièce a gauche se trouve un petit escalier en colimaçon, qui monté a un étage supèrieure mais aussi déscendre en dessous du salon. A coter de cet escalier se trouve la cuisine. Une cuisine classique avenc un four, un frigidaire, une plaque de cuisson et une table avec 4 chaises, tout en bois.
Ta chambre est en haut, c'est la derniere porte a droite. Elle n'est pas très décoré mais nous le ferrons plutard si ça ne te dérange pas. La porte en face de la tienne tu as interdiction d'y pénétrer. La première porte a gauche en montant c'est ma chambre. Interdiction de me déranger pendant que j'écris. Si tu veux jouer du violon tu peu le faire dans ta chambre ou dans le salon, comme tu préfère. Le sous-sol, tu n'a pas le droit d'y aller seul, c'est la salle de "jeu". a ses mots le visage de mariza prit une allure totalement différente l'espace d'un instant. Puis elle reprit son calme. Elle pris les escalier, montat au premier étage et ouvrit une porte. Beaucoup de bruit se fit entendre avant qu'elle ne redescende avec des vêtements pour ayase.
Ils risquent d'etre un peu grand mais je deteste le cuir blanc. Alors tu te change maintenant. elle lui tendit une petite pile de linge. Les vêtements que sa nouvelle maitresse venais de lui tendre était exactement les mêmes que ceux qu'il portait mais rouge... Un rouge écarlate... Elle s'approchat de lui, tendit ses mains vers le cadenas du collier, et le retira. Elle pris le collier et le posa a terre. Mais a peine ayase avait-il gouter a la liberté que déjà un nouveau collier plus serré que l'ancien s'installa. Un collier en cuir... En cuir très épais... Sans moyen de l'enlever sans la clé... Avec plusieurs boucle répartit autour de celui-ci. Des boucles lourdes...
Celui la te va bien mieux mon petit. Tu ferrais bien de t'y habituer très vite... Car il va rester la très très très longtemps.
Le tons de mariza avait diamétralement changer... Son visage montrait une expression peu commune a l'homme... Celle d'un fauve qui guette sa proie... Qui attend le moment propice... Celui où la proie ferrait une erreur qui lui serait... FATAL...
Allez va te changer maintenant. Ja vais dans ma chambre. Ne me dérange pas avant l'heure du diner.