Un tour aux divers effets [PV LUCIOLE] [HENTAI]

La pauvre hybride qu'était Luciole était entièrement apeurée. Elle avait peur, elle ne voulait absolument pas allait dans les bas quartiers. Cet endroit lui rappelait trop de mauvais souvenirs. Eldwyn lui avait attaché un nouveau collier et une nouvelle laisse. Assorti avec la robe, donc noir. Elle entreprit donc de le suivre, restant près de lui, pour ne pas qu'il tire sur la laisse. Ca faisait vraiment mal ça.. Dans le hall de l'immeuble, tout allait bien, car il était désert mais une fois sortie... Elle s'arrêta net mais avança par la contrainte car son maître venait de tirer sur la laisse, la faisant gémir. Elle s'était arrêtée à cause du monde dehors.. Pas trop, mais quand même des petits groupes d'amis ou amoureux..

Luciole fit très attention de bien laissait droite sa queue, mais pendant le trajet, elle avait du se baisser pour ramasser sa laisse. Elle avait eu beau réfléchir à la meilleure manière de se baisser pour ne pas que l'on voit ses fesses, il n'y en avait pas, car sa queue se levait toujours pour n'importe quel position. Ce qui l'a faisait rougir et gémir de honte pendant tout le trajet. De plus, il y avait une petite brise, ce qui, fit durcir ses deux tétons. Le relief apparaissait bien sur le cuir de la robe moulante.

Une fois arrivait à l'entrée des bas quartiers, elle inspira à fond. Elle se répétait dans sa tête que tout allait bien se passer. Puis, une fois entrée dans le sex shop, elle reconnut la vendeuse. Son ancien maître l'amenait souvent ici, mais la jeune humaine ne devait pas se souvenir de l'hybride chat. Le coup de laisse faisait mal à Luciole, qui gémit très fort cette fois. Toujours l'oeil fixant le sol, elle suivait son maître. Soudain, prise de peur, elle murmura:

Maître.. S'il vous plait.. Partons..

Bien qu'elle disait cela, son entrejambes commençait à devenir humide...

Eldwyn n'avait rien dit, rien du tout, il s'était retourné et avait donné une gifle extrêmement puissante qui poussa Luciole violemment et qui l'a fit basculer. La chatte s'attendait à s'écraser sur le sol tel une simple et ridicule crêpe.. Mais non.. Elle senti une brûlure encore plus atroce que ceux des coups de laisse. Elle s'étranglait, tenue en l'air par la laisse et le collier à quelques centimètres du sol. Sa langue sortie, les larmes aux yeux, toussant très fort, gémissante, presque hurlante. Pendant qu'elle souffrait, elle entendait parler son maître.

Le fait de s'étrangler ainsi la faisait mouiller encore bien plus. Le liquide glissant doucement le long de son entrejambe. Elle finit par entendre la voix de son maître, qui s'adressait seulement à elle. Elle n'entendait que lui, dans sa tête, comme hypnotisée par sa voix. Soudain, un bruit assourdissant se fit entendre. Un choc. Le bruit du corps de l'hybride tomba sur le sol froid. Ses tétons se collèrent dessus. Les faisant durcir encore plus.

Elle se releva difficilement, ses bras lui faisait très mal. Elle se mit à quatre pattes; prenant la laisse entre ses dents, elle s'avança, tel un animal pitoyable vers la vendeuse. Puis lacha la laisse pour pouvoir parler, d'une voix faible, montrant sa soumission, tremblante de honte:

Veuillez excuser mon manque d'obéissance mademoiselle.. Je ne suis qu'une hybride ignorante qui ne sais pas encore bien obéir, mais mon maître m'apprends, il est un bon professeur.. Si vous désirez me gifler, ne vous gêner pas..

Puis elle baissa les yeux au sol pour montrer sa docilité, reprit la laisse et revint à quatres pattes devant Eldwyn, lui tendant celle ci avec ses dents et marmonnant comme elle pu avec la laisse entre les dents:

Pardon Maître, je ne recommencerais plus..

Aoutch!... Luciole se détourna. A cause d'une gifle non attendu par l'hybride chat. La brûlure était forte, ce qui la fit plaquer sa main sur sa joue, celle ci devait être rouge. Mais avec quoi et surtout qui venait de l'a frapper ? Elle se doutait qu'il s'agisse de son maître, il n'avait rien dans les mains. Il s'agissait de la vendeuse, qui venait de la frapper avec un fouet apparemment. La morsure lui faisait si mal qu'une larme s'échappa de son oeil droit, ses oreilles étant baissées. Une fois qu'Eldwyn ait reprit sa laisse entre ses mains, très blanche d'ailleurs, ce qu'elle n'avait jamais remarquée, elle se redressa, marchant à nouveau sur ses deux jambes. Ses genoux étaient égratignés mais ne saignaient pas. Elle suivait donc son maître qui suivait la vendeuse.

La présentation des objets firent rougir de honte, et surtout, de peur de la petite hybride violette. Mais soudain, elle sentie le cuir glisser sur elle. Elle se retrouva en quelques secondes nue. Devant son maître, elle ne doit pas avoir honte, même si cela est dur, mais devant la vendeuse...
Elle gémit surprise, la larme toujours humide sur son visage, elle cacha ses seins ainsi que son intimité, les joues rouges, et les oreilles basses. La mouille coulant le long de ses jambes, elle tremblait de honte..

O..oui.. Maître..

Elle allait à nouveau subir ce que son ancien maître lui faisait..

Luciole senti ses mains passer derrière son dos, une froideur glaciale la fit sursauter, une sorte d'anneaux enserrait chacun de ses poignets, elle tira un peu, elle avait devinée, des menottes. Il allait enfin commencer son.. jeu.. Mince, elle avait encore désobéit.

P..pardon Maî..tre..

Elle tomba à genoux maladroitement, voulant s'agenouiller doucement à terre, elle glissa à cause de sa douleur aux genoux, et donc tomba sur ceux la. Gémissant dans sa gorge, de douleur. L'humain passait ses mains sur la poitrine de l'hybride, qui sans s'y attendre, frémit. Mais tout d'un coup, elle se mit à gémir si fort qu'elle en hurlait presque. Eldwyn lui posa les pinces "crocodiles" à tétons sur les deux petites bosses, et bien que celles-ci soient assez dur, les dents en métal la faisait souffrir.

Mais voila que ses cordes vocales produisirent enfin un hurlement, sous forme de gémissement. Elle faisait son possible pour ne pas faire trop de bruit, pour ne pas en subir d'avantage. Mais c'était difficile, car des aiguilles venaient de lui transpercer les tétons. Elle sentait la goute de sang couler le long de l'aiguille. Elle baissa violemment sa tête, tellement elle avait mal, essayant de contenir les cris ainsi que la douleur en la tournant de droite à gauche violemment.

Ce qui, sans le faire exprès, détacha son cache-oeil, mais gardait l'oeil blessé fermé.

N..non!.. Auhhh!!!...

Et bien que ce soit douloureux, elle santait la mouille coulait plus rapidement sur sa jambe, atterrissant sur le sol froid. Elle aurait voulut remettre son cache-oeil, mais c'était impossible..
Et le jeu continuait..

Elle senti deux boules ovales entrer dans son sexe déjà bien dilaté, et tout d'un coup ils vibrèrent intensément. Tellement qu'elle en releva la tête vers le ciel, gémissant fortement, presque de plaisir car les vibrations cachaient un peu la douleur du haut. Vint ensuite un autre cris plus atroce encore. Une pince à tétons à dents en métal avait était à son tour posée sur le clitoris rose et gonflé de Luciole, donc, très très sensible. Tout son corps était crispé, autant par la douleur que par le plaisir. Bien qu'elle était vraiment gênée.

Quelque chose entra d'un coup sec dans son sexe, un plug dans son sexe, ça faisait mal, mais elle gémissait tel un petit animal, de plaisir presque. Puis, elle senti une pression sur son derrière, elle criait de douleur, et se renversa vers l'avant, la tête collée contre le carrelage, le plug s'enfonça dans son anus.

Enfin fût venu la libération, il retira les plugs ainsi que les œufs vibrants, mais cette pause fût de courte durée, car en un instant il enfonça un gode de chaque côtés d'elle et les faisaient bouger, en elle, toujours la tête au sol, elle commençait à baver, la langue sortie, coller sur le carrelage, l'oeil un peu vitreux, secouer de spasmes elle jouie sur le sol. La mouille glissant rapidement d'elle.

Il sortie les godes et enfonça des vibromasseurs en elle. Les spasmes devinrent alors plus intenses, son oeil reprit vit, elle gémissait de plaisir, mais cela devenait de la torture pour elle.

Auh... auh... Auh..!..

Et elle gémissait encore et encore. Il laissa, cette fois les vibro en place et brancha des cables aux pinces et aiguilles, accessible malgré la position de la chatte, et vint en enrouler un autour de la langue de Luciole. Et puis vint le choc, faible qui souleva l'hybride d'un spasme énorme, son corps toujours presque allonger sur les genoux se secouait, elle, gémissant, et plus tard, vinrent les chocs plus intenses de l'électricité, qui la fit se remettre à genoux. Les chocs étaient tel que son oeil "mort" s'ouvrit, laissant apparaitre un oeil blanchatre. Des larmes s'échappaient des deux yeux, les gémissements devinrent plus fort, mais aussi mélé d'un plaisir jusqu'ici cacher par Luciole.

En ce moment présent, la pauvre petite Luciole n'était plus rien. Enfin, si, elle n'était juste qu'une pauvre loque gisant sur le carrelage. Comme un simple objet d'exposition. Elle était allongée par terre, haletante, telle un chien, son oeil valide aussi vitreux que celui d'un mort. Et bien que le calvère soit bel et bien terminé, elle était encore secouée de violents spasmes musculaires. La langue sortie de la bouche, pendante et bavante, l'entrejambe innondée.

La vendeuse arriva vers elle. Lui retira les vibromasseurs en tirant dessus d'un coup sec, sans délicatesse. Souriant sadique, alors que l'hybride gémissait de douleur. Puis elle déconnecta les fils de l'appareil d'éléctrostimulation. Pinçant la langue de Luciole avec ces ongles. Puis elle retira les pinces, ou cette fois, la chatte hurla. Et enfin les aiguilles. Elle releva celle-ci brusquement et lui enfila sa robe. L'entrejambe toujours mouillée. Elle lui rattacha son cache-oeil avec dégout, et son collier et la laisse.

Juste après, son maître la reprit, et ils s'en allèrent, Luciole murmura un "bonne soirée".